J'ai du mal à analyser le sujet. La libération s'assimile t'elle ds ce cas à la liberté ? Parle t-on de l'idée de liberté et de l'idée d'inconscient. Ou parle t'on de la psychanalyse qui aide à se libérer.

Mon plan serait celui-ci :

1) ceux qui croient en l'inconscient : Freud, opposition inconscient et liberté etc...

2) ceux qui refusent l'inconscient Alain, Sartre... l'invention de l'inconscient n'est qu'une excuse pour ne pas prendre ses responsabilités

3) refuser l'inconscient libère t-il ? Connaître l'inconscient aide le psychanalyste à libérer son patient de secrets enfouis au plus profond de son être Refuser l'inconscient, c'est refuser une partie de soi-même, peut-on être libre si on nie ce que l'on a ou est ? L'inconscient est contrôlé par le préconscient et n'est qu'un ça... autrement dit ce n'est pas un autre moi qui fait concurrence à la conscience, donc ce n'est pas une excuse. Enfin, tous les désirs de l'inconscient sont-ils réellements condamnables ? qui les condamne ?

Auriez vous d'autres suggestions à faire ? Je trouve ce sujet vraiment dur à saisir à cause de l'ambiguité de tous les termes. J'aurais trouvé beaucoup plus facile " l'idée de liberté exclut-elle l'idée d'inconscience" Merci beaucoup

La différence entre "liberté" et "libération" est seulement que, ici, on sous-entend que l'inconscient serait ce qui fait obstacle à notre liberté. En gros : est-ce que pour être libre il faut passer par le refus de l'inconscient ? Est-ce la bonne attitude ? Mais aussi : l'inconscient est-il ce qui nous opprime ? Voilà deux axes à explorer. Bien sûr, on parle autant d'inconscient et de liberté, que de la psychanalyse...

Je pense maintenant que, libérée de l'incompréhnsion, tu devrais pouvoir faire quelque chose de bien. En effet, en lisant ton plan, et tes idées, je constate que sans t'en rendre compte, tu avais bien compris le sujet : tout y est, non ? Tu t'es posé les bonnes questions. Reste maintenant à bien ficeler le tout. Il y a juste quelque chose qui me chiffonne : tes deux dernières parties ne reviennent-elles pas au même ? Car dire que l'inconscient n'est qu'une excuse... montre qu'il ne s'oppose pas à la liberté, et que le refuser ne peut en rien nous aider à être libre (ou "plus" libre). Autre chose, enfin : attention de ne pas dire dans ton devoir, pour commencer une partie, "il y a ceux pour qui....". Commence directement par une question problématisée. Par exemple, pour la partie I : l'inconscient n'est-il pas ce qui nous opprime, et ce dont nous avons donc à refuser, afin d'être libre ? (c'est seulement un exemple, à améliorer)

Bon courage