La vie est-elle la valeur suprême ? (TL)

Il s'agit de ma première dissertation alors je suis un peu embrouillée notamment en ce qui concerne l'introduction.

POSITION DU PROBLEME.

A)

1- Formulation d'une opinion ( la plus faible) Dc,la vie est la valeur suprême. Comme le disait A.Malraux:"Une vie ne vaut rien mais rien ne vaut une vie" Analyse des termes " vie " et " valeur ".

2-Mise en évidence des présupposés de cette opinion. Etude du mot de " vie " au sens biologique.

3-Puis mise en évidence des eventuelles contradictions de ces présupposés.

B)

1-Formulation d'une hypothèse. "C'est pourquoi on pourrait envisager l'oppinion adverse..." Soit: Non, la vie n'est pas la valeur suprême car moi je prends le sens du mot vie ds un autre contexte.

2-Mise en evidence de ces presupposes. Rapport avec la vie au sens spirituel.

3-Mise en evidence des limites de l'hypothèse. Dc vie spirituelle surtt par les idees.

C)Formulation du problème.

Donc, j'opposerai 2 propositions dont l'une résumerait l'opinion et l'autre la thèse sous forme de question.

A partir de là, je suis un peu perdue pour tout ordonner. Si vous pouviez m'éclairer, je me sentirai plus sure de moi pour essayer de faire quelque chose qui tient la route. Merci d'avance.

Déjà, j'ai un petit problème : je n'arrive pas à savoir si ce que tu me présentes est ton plan, ou bien le plan de ton introduction seulement...

Tu as raison de vouloir étudier la vie en ses plusieurs sens : c'est ce qu'il faut faire. Par contre, j'ai peine à comprendre ton propos : est-ce que tu commences par dire que la vie au sens biologique a une valeur suprême ? En fait, c'est surtout la phrase "non (...), je prends le sens du mot vie dans un autre contexte". Je ne comprends pas, parce qu'après, intervient la "vie spirituelle" : est-ce elle qui correspond à "un autre contexte" ? Mais dans ce cas, crois-tu vraiment que celle-là n'a pas une valeur suprême ? Cf. l'impératif catégorique de Kant (in Fondements de la métaphysique des moeurs) qui montre que la raison est ce qui nous rend dignes, car, capables de moralité dans nos actions...

Il va te falloir d'abord étudier la vie au sens le plus large : c'est bien du sens biologique qu'il s'agit. Tu la mettras alors en rapport avec la notion de valeur (et surtout, de valeur morale). Peut-on dire de la vie qu'elle est une valeur, et la valeur suprême ? Que doit-on supposer, pour dire cela ? Qu'elle a une finalité, qu'elle a été créée par Dieu, etc. Cf. cours religion (Hume, Darwin). On prête alors à la vie quelque chose qui ne s'y applique pas, je te laisse trouver quoi... (C'est quelque chose qu'on trouvera chez l'homme, mais je crois que tu as plus ou moins trouvé).

Donc : la question se pose de savoir : quelle vie (quel genre de...) peut bien avoir une valeur, et une valeur suprême ? La vie vaut-elle par elle-même, ou bien par l'usage qu'on en fait, etc.

J'espère que tu es maintenant "sur la bonne voie"...

Bon courage et à bientôt.