• La fonction émotive de l'image. Faut-il tout montrer ? (on ne peut faire de lien renvoyant directement à la page voulue, il faut donc cliquer sur la page "travaux")
• Analyse des interactions télévisées : "C'est mon choix" (idem)
• Les reality-shows, entre parole publique et parole privée (idem)

Des dossiers, dont :

• Loft Story, une approche sociologique du phénomène (il faut cliquer sur la page "dossiers")
• Les attentats du 11 septembre et la guerre en Afghanistan : petite pédagogie... (idem)

Site édité par André Lange, ancien chargé de cours ("Histoire de la télévision") à l'Université libre de Bruxelles (ULB) - Section ELICIT.

A lire : une ANTHOLOGIE des premiers textes scientifiques et littéraires sur la télévision
(1877-1900).

L'Harmattan

Cronenberg nous montre ici la façon dont les médias (ici, la télévision) affectent la perception des gens (dans Existenz, il s'agira des jeux vidéo). Son postulat majeur, que l'on retrouve à travers tous ses films, est celui de la transformation de l'homme par la technologie. (Cf. ici, la nouvelle chair, que l'on retrouve dans Existenz..). On assiste chez lui à l'émergence d'un homme nouveau, dont chaque film nous détaille la physiologie (cet homme nouveau n'a rien à voir avec le surhomme nietzschéen : il s'agit d'un être "bionique", exploitant toutes ses capacités intellectuelles et ayant achevé la fusion avec toutes les machines).

Le personnage central, Max Renn, se met à engendrer des images, pour en avoir trop consommé... L'image est ici considérée comme un virus, une tumeur au cerveau qui entraîne la mort des gens dont on vole l'image comme si la télévision était devenue plus que la vie.

Quatrième de couverture : ces deux cours télévisés du Collège de France présentent sous une forme claire et synthétique les acquis de la recherche sur la télévision.

Le premier démonte les mécanismes de la censure invisible qui s'exerce sur le petit écran et livre quelques-uns des secrets de fabrication de ces artefacts que sont les images et les discours de télévision.

Le second explique comment la télévision, qui domine le monde du journalisme, a profondément altéré le fonctionnement d'univers aussi différents que ceux de l'art, de la littérature, de la philosophie ou de la politique, et même de la justice et de la science; cela en y introduisant la logique de l'audimat, c'est-à-dire de la soumission démagogique aux exigences du plébiscite commercial.